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La chanteuse hybride Ioio nous dévoile « Inflorescence », son premier EP aux chansons à texte pop qui se combinent à l’ambient et à l’électro

Auteure, compositrice, interprète et productrice de son projet, Ioio propose un voyage musical sensible suivant le cycle intime de ses émotions mises en chanson. Inspirée par L’Impératrice, Agar agar ou encore Björk, elle crée de la musique aux teintes hybrides : chansons pops se combinent à l’ambient et à l’électro. Sa poésie aux accents mécaniques et scintillants est également présente dans ses clips, vecteurs forts de son univers marqué.

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Ioio, comme un écho tout en voyelles. Un clin d’oeil à Io, fille d’un dieu fleuve, que Zeus métamorphosa un jour en vache. Après un long périple, Io retrouva finalement forme humaine, reprenant sa destinée en main. Sa légende évoque un désir de réincarnation, une puissante envie de se retrouver soi-même. Portant ces symboles au coeur, Ioio propose un voyage musical sensible, suivant le cycle intime de ses émotions mises en chanson.

Cheffe d’orchestre d’un petit cheptel d’instruments électroniques, elle relie la candeur de sa voix au son robotique de ses machines, le tout entre live-set électro et concert pop. Elle offre sur scène une poésie aux accents mécaniques et scintillants, également présente dans ses clips, vecteurs forts de son univers marqué.

Autodidacte sur les processus de composition et de production à l’ordinateur, Ioio s’est formée au chant lyrique et jazz depuis ses 13 ans. Elle crée de la musique aux teintes hybrides : chansons à texte pop se combinent à l’ambient et à l’électro.

Son premier EP « Inflorescence » est sorti pour mars 2021, précédé́ par la sortie de deux clips aux esthétiques étonnantes, « Fusée » dont la tenue argentée interpelle, et « Nuit » où l’on retrouve notre héroïne en nymphe fluviale… un écho à Io ?

« La pop de Ioio est léchée et très aboutie, sufsamment entraînante pour rester longtemps en tête et nous accompagner plus loin que le temps d’une chanson. » LACN

« Inflorescence est né au hasard, dans l’intimité de mes carnets et de mon ordinateur. Le thème de la floraison est intimement lié à ce projet: les chansons sont comme des secrets qui ont grandi sous terre, pour se changer aujourd’hui en corolles. 7 bourgeons, 7 confidences, 7 morceaux pour cette première sortie.
L’inflorescence, en tant que telle, est la manière dont les fleurs sont disposées sur la tige d’une plante. Comme des pétales en cercle, chaque chanson correspond à chacune des phases d’un cycle infini : le cycle de l’introspection personnelle. C’est un cycle qui ne finit jamais, car on a jamais fini de se chercher soi-même.
Quand je joue ces chansons sur scène, c’est comme si je revisitais mon monde intérieur : du premier morceau Eve at Dawn (1) qui me fait retrouver Eve qui rougit de plaisir, je joue ensuite à l’enfant avec Fusée (2), puis je pars en voyage à bord de July (3). Domino Tatami (4) m’ébranle, pour laisser place à une renaissance dans un monde où le langage n’existe pas encore avec Run run run (5). Nuit (6) sonne le moment de la clairvoyance, qui me guide vers Eve at Dusk (7), le crépuscule, et au recommencement du cycle – d’Eve à Eve. »

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