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Cléa Vincent, nouvelle sensation de la pop française

Des nuits sans sommeil sont à prévoir après avoir écouté la voix envoûtante et entraînante de Cléa Vincent. Son univers pailleté nous tient éveillés. Sa musique, romantique avec des synthés et paroles en français, nous fait divaguer, rêver et puis danser aussi ! Cléa cultive une passion conjointe pour Kylie Minogue et Véronique Sanson et ça s’entend. Elle teinte ses mélodies d’une mélancolie séduisante tout en cultivant des airs pop et une french touch assumée.

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Un univers pailleté et teinté de mélancolie, de la pop aux mélodies vibrantes, aux paroles à la fois douces et cash et au look graphique et coloré. Découverte en 2016 avec le morceau « Retiens mon désir » issu de son album éponyme, la jeune femme s’affirme comme porte-étendard d’une scène french pop renouvelée. Volontaire, spontanée, indissociable de son clavier, cette touche-à-tout avant gardiste joue depuis aussi longtemps que le conservatoire s’en souvienne. Avec ses textes francs et inspirés, ses mélodies aux accroches imparables et ses clips singuliers, elle a planté un décor néoromantique original, un univers dansant et sensuel qu’elle a déjà emmené sur les scènes des quatre coins du monde. Électron libre, Cléa Vincent n’hésite pas à casser les codes, mêler les influences et ouvrir les portes.

En 2019, elle sort son deuxième album « Nuits sans sommeil », une balade mélancolique de onze titres. « J’ai eu ce fantasme un peu fou de faire un disque comme le dernier de Daft Punk, je rêve d’atteindre cette qualité de son, cette pulsation hyper électro. Tout en cultivant ma marque de fabrique : une french touch poétique et sans jamais gommer le côté très femme de ma musique… »

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Aujourd’hui, elle est de retour avec « Tropi-Cléa 2 », deuxième volet d’une parenthèse tropicale ouverte en 2017. Cet EP de 6 nouveaux titres aux rythmes latins et pop est sorti le 30 avril chez Midnight Special Records.
Dans son œuvre, elle se bouscule l’influence des accompagnateurs de ses oreilles d’enfant : Michel Berger bien sûr ou encore Alain Souchon, une école de chanson française nuancée avec la découverte, plus tard, de Sébastien Tellier, Connan Mockassin ou Philippe Katerine. L’auteure-compositrice déploie une gaité communicative et une immédiateté qui lui confèrent une signature toute particulière, distillant depuis plusieurs années des tubes (« Retiens mon désir », « J’m’y attendais pas », « Château perdu », « Nuits sans sommeil »…) qui incitent à la suivre les yeux fermés sur sa piste de danse.

« Tropi-Cléa 2 », et plus particulièrement « N’allez pas travailler » tire une révérence à « Aux armes et cætera », treizième album de Serge Gainsbourg, et à sa relecture de la chanson française par le prisme du reggae. Cléa Vincent cite aussi les Brésiliens Caetano Veloso et Chico Buarque ou encore Baden Powell – dont le fils, Philippe, lui a enseigné le piano – parmi les sources d’inspiration majeures de la parenthèse tropicale qu’est cet EP. Cléa Vincent nous glisse ses émotions sur des rythmes enjoués et nos jambes en redemandent.

Cléa Vincent’s bash:

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